Genipabu, Pipa : fin de la playa
Si nous devions vous donner un pourcentage du temps passé sur les plages brésiliennes il serait de 70.
Et oui, nous avons fait exploser les scores de l'oisiveté.
Vous vous imaginez peut-être que les plages sont toutes les mêmes et bien NON. Il y en a des petites de 1 à 2 km comme les plages de Pipa et y en a des grandes où l'on voit à l'infini comme celle de Genipabu. Pour certaines il ya des falaises qui les bordent et d'autres ce sont des maisons ou des petits villages.
Par contre toutes celles qu'on a faites on un point commun, elles ont toutes une barrière de corail qui les protège.
Vous devez vous demander pourquoi, comment, on a pu passer autant de temps au bord de l'océan. Je vous répondrais tout simplement " parce que c'est MAGNIFIQUE et l'eau est trop bonne". Quand on se trouve fasse à une température de l'eau supérieure à 25 degrés même une personne qui n'aime pas l'eau se sent obligée d'aller y tremper les pieds (vous pouvez demander confirmation à mon père).
Nous avons fait pas mal de sport sur ces plages (entre le jogging et les abdos). De voir des belles plaques de chocolats et des beaux tangas, ça nous a motivés tous les 2 à faire du sport.
Le sport ne nous occupant pas toute la journée, nous avons pas mal lu sur notre transat, face à l'océan.
Voilá un petit résumé de notre principale vie brésilienne qui nous a bien plue.
Aneva (depuis la plage de Pipa, les pieds dans le sable)